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الفرنسية) 3:
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A six ans J - ê, seul peut être tais. Malheureux, mais je n 'avais aucun point de rep Isère qui me permanente î t d' appeler mon existence: sur ou malheur.
Je n '- Tais ni heureux, ni malheureux.J '- tais un enfant seul.Cela, je le tu savais.Point farouche de nature, j 'és bauchai de timides Amiti é s avec les Bam bins de l' é cole coranique, mais leur e fut br ve INFA - è.Nous habitions des univers diff rents.J 'avais un penchant pour le r ê ve.Le monde me paraissait un Annales fabuleux, une f é è Erie grandiose ou les sorci res entretenaient un commerce familier avec des puissances invisibles.Je D - sirais que l) invisible m 'ADM î t vis - à - vis à ses participer myst è res. Mes 15 camarades de l' é cole se contentaient du visible,Surtout quand ce visible se concr és tisait en sucreries d 'un bleu C - Leste ou d un rose de. Couchant ".Ils aimaient grignoter, sucer, mordre à pleines dents.Ils aimaient aussi jouer vis - à - vis à la bataille, se prendre la gorge avec des airs d 'mais vous allez, crier pour imiter la voix de leur p è re, s' insulter pour imiter les voisins, Darwin pour imiter le Ma'î tre d' é cole moi
.Je ne voulais seulement t'rien imiter, je voulais seulement t'conna î tre.
Abdallah, de l'picier, je raconta les exploits d 'un roi de toilette qui vivait dans un pays de lumière Isère, de fleurs et de parfums, par del à les Mers des t è, n bres par del à la grande Muraille.Et je D - sirais faire un pacte avec les puissances invisibles qui ob - è issaient aux sorci res afin qu'elles m è nent EMM par del à les Mers des t è bres N et par del à la grande Muraille, vivre dans ce pays de lumière Isère, de parfums et de fleurs
. Mon p è re
me parlait du Paradis.Mais, pour y ressurgir, il fallait d abord mourir ".Mon p è re - était ajoutait que se tuer un grand P - CH -, -Un P één qui ch inter disait l'ACC è à ce Royaume - S'.Alors, je n 'avais qu'une solution: attendre!Attendre de devenir un homme, attendre de mourir pour ressurgir au carton et du fleuve Salsabil.Attendre!C 'est cela exister.A cette ID, - e je n prouvais certainement aucune frayeur.Je me r é veillais le sur, je faisais ce qu'on me disait de faire ".Le soir,Le disparaissait. Et je revenais m endormir pour recommencer le lendemain.Je tu savais qu'une journée à e s' ajoutait une autre, je tu savais que les jours faisaient des mois, que les mois devenaient des saisons, et les saisons l '.' ann e j ai six ans, l 'année prochaine e j' en aurai sept et puis avec et huit, dix.A dix ans, on est presque un homme.A dix ans, on parcourt seul tout le quartier,On discute avec les marchands, on sait décrire, au moins son nom, on peut consulter une voyante sur son avenir, apprendre des mots magiques, composer des talismans.
en attendant, j 'és tais seul au milieu d' un grouille de t - ê é, côtes de Ras es de Jiménez humides, Dans un vertige de vocif - opérations de versets sacr é s.
l - à Cole était la porte de Derb Noualla.Le fqih, un grand maigre à barbe noire,Dont les yeux Lan - aient constamment des flammes de col Isère, habitait la rue Jiaf.Je connaissais cette rue.Je tu savais qu'au fond d un boyau noir et humide, s' ouvrait une porte basse d 'État "- S chappait, toute la journée, E, un brouha ha continu de voix de femmes et de pleurs d' enfants.
la matières premières Isère la fois que j 'avais entendu ce bruit,,,,J 'avais één en clat sanglots parce que j' avais reconnu les voix de l 'Enfer telles que mon p è é voqua re les un soir.
Ma'm Isère - du calme:
. Je t' emm Hacène prendre un bain, je te promets un jus d'orange et un uf dur mise Et tu trouves le moyen de braire comme un â ne!
Toujours hoquetant, je pondis R:
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