A six ans j'étais seul, peut-être malheureux, mais je n'avais aucun po ترجمة - A six ans j'étais seul, peut-être malheureux, mais je n'avais aucun po الفرنسية كيف أقول

A six ans j'étais seul, peut-être m

A six ans j'étais seul, peut-être malheureux, mais je n'avais aucun point de repère qui me permît d'appeler mon existence : solitude ou malheur.

Je n'étais ni heureux, ni malheureux. J'étais un enfant seul. Cela, je le savais. Point farouche de nature, j'ébauchai de timides amitiés avec les bam­bins de l'école coranique, mais leur durée fut brève. Nous habitions des univers différents. J'avais un penchant pour le rêve. Le monde me paraissait un domaine fabuleux, une féerie grandiose où les sorcières entretenaient un commerce familier avec des puissances invisibles. Je désirais que l’Invisible m'admît à participer à ses mystères. Mes petits camarades de l'école se contentaient du visible, surtout quand ce visible se concrétisait en sucreries d'un bleu céleste ou d'un rose de soleil couchant. Ils aimaient grignoter, sucer, mordre à pleines dents. Ils aimaient aussi jouer à la bataille, se prendre à la gorge avec des airs d'assassins, crier pour imiter la voix de leur père, s'insulter pour imiter les voisins, commander pour imiter le maître d'école.

Moi, je ne voulais rien imiter, je voulais connaître.



Abdallah, l'épicier, me raconta les exploits d'un roi magnifique qui vivait dans un pays de lumière, de fleurs et de parfums, par delà les Mers des Ténèbres, par delà la Grande Muraille. Et je désirais faire un pacte avec les puissances invisibles qui obéissaient aux sorcières afin qu'elles m'emmènent par delà les Mers des Ténèbres et par delà la Grande Muraille, vivre dans ce pays de lumière, de parfums et de fleurs.

Mon père me parlait du Paradis. Mais, pour y renaître, il fallait d'abord mourir. Mon père ajoutait que se tuer était un grand péché, un péché qui inter­disait l'accès à ce royaume. Alors, je n'avais qu'une solution : attendre ! Attendre de devenir un homme, attendre de mourir pour renaître au bord du fleuve Salsabil. Attendre ! C'est cela exister. A cette idée, je n'éprouvais certainement aucune frayeur. Je me réveillais le matin, je faisais ce qu'on me disait de faire. Le soir, le soleil disparaissait et je revenais m'endormir pour recommencer le lendemain. Je savais qu'une journée s'ajoutait à une autre, je savais que les jours faisaient des mois, que les mois devenaient des saisons, et les saisons l'année. J'ai six ans, l'année prochaine j'en aurai sept et puis huit, neuf et dix. A dix ans, on est presque un homme. A dix ans, on parcourt seul tout le quartier, on discute avec les marchands, on sait écrire, au moins son nom, on peut consulter une voyante sur son avenir, apprendre des mots magiques, composer des talismans.

En attendant, j'étais seul au milieu d'un grouille­ment de têtes rasées, de nez humides, dans un vertige de vociférations de versets sacrés.

L'école était à la porte de Derb Noualla. Le fqih, un grand maigre à barbe noire, dont les yeux lan­çaient constamment des flammes de colère, habitait la rue Jiaf. Je connaissais cette rue. Je savais qu'au fond d'un boyau noir et humide, s'ouvrait une porte basse d'où s'échappait, toute la journée, un brouha­ha continu de voix de femmes et de pleurs d'enfants.

La première fois que j'avais entendu ce bruit, j'avais éclaté en sanglots parce que j'avais reconnu les voix de l'Enfer telles que mon père les évoqua un soir.

Ma mère me calma :

- Je t'emmène prendre un bain, je te promets un orange et un œuf dur et tu trouves le moyen de braire comme un âne !

Toujours hoquetant, je répondis :
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Un six ans j' j'étais seul, peut-être malheureux, mais je n'avais aucun point de repère qui me permît appeler existence de LUN : solitude ou malheur. Je n'étais ni heureux, ni malheureux. J'étais un enfant seul. Cela, je le savais. Point farouche de nature, j « ébauchai de timides amitiés avec les bambins de l » école coranique, mais leur durée fut brève. Nous habitions des univers différents. Penchant ONU j'avais verser le rêve. Le monde me paraissait un domaine fabuleux, une féerie grandiose où les sorcières entretenaient un commerce familier avec des puissances invisibles. Je désirais que l'invisible m'admît à participer à ses mystères. Mes petits camarades de l'école se contentaient du visible, surtout quand ce visible se concrétisait en sucreries d'un bleu céleste ou d'un rose de soleil couchant. Ils aimaient grignoter, sucer, mordre à pleines dents. Ils aimaient aussi jouer à la bataille, se prendre à la d'avec la gorge est diffusée d'assassins, crier pour imiter la voix de leur père, s'insulter pour imiter les voisins, commandant pour imiter le maître d école. Moi, je ne voulais rien imiter, je voulais connaître. Abdallah, l'épicier, me raconta les exploits d'un roi magnifique qui vivait dans un pays de lumière, de fleurs et de parfums, par delà les Mers des Ténèbres, normale au-delà la Grande Muraille. Et je désirais faire un pacte avec les puissances invisibles qui obéissaient aux sorcières afin qu'elles m'emmènent par delà les Mers des Ténèbres et normale au-delà la Grande Muraille, vivre dans ce pays de lumière, de parfums et de fleurs. Mon père me parlait du Paradis. Mais, versez y renaître, il fallait d'abord mourir. Mon père ajoutait que se tuer c'était un grand péché, un péché qui interdisait le « accès à ce royaume. Alors, je n'avais qu'une solution : attendre ! Attendre de devenir un homme, attendre de mourir verser renaître au bord du fleuve Salsabil. Attendre ! C'est cela équipements. A cette idée, je n'éprouvais certainement aucune frayeur. Je me réveillais le matin, je faisais ce qu'on me disait de faire. Le soir, le soleil voir et je revenais m'endormir versez recommencer le lendemain. Je savais qu'une journée s'ajoutait à une autre, je savais que les jours faisaient des mois, que les mois devenaient des saisons, et les saisons l'année. J'ai six ans, l'année prochaine j'en personnel sept et puis huit, neuf et dix. A dix ans, sur est presque un homme. A dix ans, sur le parcourt seul tout le quartier, sur discute avec les marchands, le sait écrire, au moins son nom, on peut consulter une voyante sur son avenir, apprendre des mots magiques, talismans des compositeur.En attendant, j'étais seul au milieu d'un grouillement de têtes rasées, de nez humides, dans un vertige de vociférations de versets sacrés.L'école c'était à la porte de Derb Noualla. Le fqih, un grand maigre à barbe noire, ne les yeux lançaient constamment des flammes de colère, who la rue Jiaf. Je connaissais cette rue. Je friands d'un que dans la savais boyau noir et humide, s'ouvrait une porte basse d 'où s'échappait, toute la journée, un brouhaha continu de voix de femmes et de enfants de pleurs.La première fois que j'avais entendu ce bruit, j'avais éclaté en sanglots parce que j'avais reconnu les voix de l'enfer telles que mon père les évoqua un soir. Ma mère me calma :-Je t'emmène prendre un bain, orange d'ONU je te promets et un œuf dur et tu trouves le moyen de braire comme un âne !Toujours hoquetant, je répondis :
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Six ans Je étais Un seul, Peut-Etre Malheureux, Mais je N'avais Aucun Point de Repère Qui me permettre d'Appeler mon existence: Solitude OÜ Malheur. Je N'étais heureux ni, ni Malheureux. Je étais un enfant seul. Cela, je le Savais. Pointez farouche de nature, j'ébauchai de timides amitiés Avec Les bambins de l'école coranique, but their Durée FUT brève. Nous habitions des univers Différents. Je avais penchant non versez le rêve. Le monde me paraissait non domaine fabuleux, Une féerie grandiose ou Les sorcières entretenaient des Nations Unies commerce familier Avec des Puissances invisibles. Je désirais Que l'Invisible m'admît à Participer à SES mystères. Mes petits camarades de l'école se contentaient du visible, redingote Quand CE visibles se concrétisait en sucreries D'UN bleu céleste OU D'UN rose de soleil couchant. ILS aimaient grignoter, sucer, mordre à Pleines bosses. Aimaient also Jouer ILS à la bataille, soi Prendre à la Gorge Avec des Airs d'Assassins, Crier Imiter Pour La Voix de Leur père, S'insulter Imiter versez les Voisins, commandant de verser le maître d'Imiter l'École. Moi, je ne Imiter Voulais rien, je Voulais Connaître. Abdallah, l'Épicier, Me Raconta les Exploits d'roi Un magnifique Qui Vivait Dans un Pays de Lumière, de fleurs et de Parfums, par delà des Mers les Ténèbres, par delà la Grande Muraille. Désirais je faire et Un Pacte Avec Les Invisibles Puissances Qui Obéissaient aux Sorcières AFIN qu'elles M'emmènent par delà des Mers les Ténèbres et par delà la Grande Muraille, Vivre dans la CE Pays de Lumière, de Parfums et de fleurs. Mon père Me PARLAIT du Paradis. Mais, versez y renaître, il Fallait D'ABORD mourir. Mon père ajoutait Que se tuer Était Nations Unies grande péché, non péché Qui interdisait l'access to this royaume. Alors, la solution de n'avais Qu'une de je: Attendre! Attendre de Devenir un homme, Attendre de Mourir pour renaître au bord du fleuve Salsabil. Attendre! Ce est CELA Exister. Une idée this, je n'éprouvais Certainement Aucune frayeur. Je me réveillais le matin, je faisais Ce qu'on me Disait de faire. Le soir, le soleil disparaissait et je Revenais me endormir versez recommencer le Lendemain. Je Savais Qu'une journée s'ajoutait à juin autre, je Savais Que les jours faisaient des mois, les mois Que devenaient des saisons, et les saisons l'année. Je AI six ans, l'année Prochaine je en aurai septembre Et Puis huit, neuf et dix. A dix ans de, on est non Presque homme. Dix de la A, Sur Parcourt tout seul le quartier, Sur Discute Avec Les Marchands, Sur sait d'Écrire, at least Son nom, Sur Peut consulter Sur une Voyante Son avenir, Apprendre des mots Magiques, Compositeur des talismans. En Attendant, Je étais Milieu d'au seul non grouillement de Têtes rasées, de nez Humides, DANS UN Vertige de vociférations de Versets Sacrés. L'École du Était à la porte de Derb Noualla. Le Fakir, Un grand maigre à barbe noire, Dont les yeux lançaient des flammes Constamment de colère, habitait la rue Jiaf. Je connaissais this rue. Je Fond d'la l'ONU de Savais noir et Boyau Humide, S'ouvrait porte juin basse d'Où S'échappait, Toute la journée, l'ONU Brouhaha continu de Voix de Femmes et de Pleurs d'enfants. La première fois Que j 'en avais Entendu CE bruit, Je avais éclaté Parce Que Je avais en Sanglots recognized Les Voix de l'Enfer Telles Que mon père les Évoqua un soir. Ma mère me calma: - je te emmène Prendre bain de l'ONU, Je Te Promets ! Orange et non de l'ONU Œuf dur et tu Trouvés Le Moyen de Braire Comme un Âne Toujours Hoquetant, je Répondis:





















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A six ans J - ê, seul peut être tais. Malheureux, mais je n 'avais aucun point de rep Isère qui me permanente î t d' appeler mon existence: sur ou malheur.

Je n '- Tais ni heureux, ni malheureux.J '- tais un enfant seul.Cela, je le tu savais.Point farouche de nature, j 'és bauchai de timides Amiti é s avec les Bam ­ bins de l' é cole coranique, mais leur e fut br ve INFA - è.Nous habitions des univers diff rents.J 'avais un penchant pour le r ê ve.Le monde me paraissait un Annales fabuleux, une f é è Erie grandiose ou les sorci res entretenaient un commerce familier avec des puissances invisibles.Je D - sirais que l) invisible m 'ADM î t vis - à - vis à ses participer myst è res. Mes 15 camarades de l' é cole se contentaient du visible,Surtout quand ce visible se concr és tisait en sucreries d 'un bleu C - Leste ou d un rose de. Couchant ".Ils aimaient grignoter, sucer, mordre à pleines dents.Ils aimaient aussi jouer vis - à - vis à la bataille, se prendre la gorge avec des airs d 'mais vous allez, crier pour imiter la voix de leur p è re, s' insulter pour imiter les voisins, Darwin pour imiter le Ma'î tre d' é cole moi

.Je ne voulais seulement t'rien imiter, je voulais seulement t'conna î tre.



Abdallah, de l'picier, je raconta les exploits d 'un roi de toilette qui vivait dans un pays de lumière Isère, de fleurs et de parfums, par del à les Mers des t è, n bres par del à la grande Muraille.Et je D - sirais faire un pacte avec les puissances invisibles qui ob - è issaient aux sorci res afin qu'elles m è nent EMM par del à les Mers des t è bres N et par del à la grande Muraille, vivre dans ce pays de lumière Isère, de parfums et de fleurs
. Mon p è re
me parlait du Paradis.Mais, pour y ressurgir, il fallait d abord mourir ".Mon p è re - était ajoutait que se tuer un grand P - CH -, -Un P één qui ch inter ­ disait l'ACC è à ce Royaume - S'.Alors, je n 'avais qu'une solution: attendre!Attendre de devenir un homme, attendre de mourir pour ressurgir au carton et du fleuve Salsabil.Attendre!C 'est cela exister.A cette ID, - e je n prouvais certainement aucune frayeur.Je me r é veillais le sur, je faisais ce qu'on me disait de faire ".Le soir,Le disparaissait. Et je revenais m endormir pour recommencer le lendemain.Je tu savais qu'une journée à e s' ajoutait une autre, je tu savais que les jours faisaient des mois, que les mois devenaient des saisons, et les saisons l '.' ann e j ai six ans, l 'année prochaine e j' en aurai sept et puis avec et huit, dix.A dix ans, on est presque un homme.A dix ans, on parcourt seul tout le quartier,On discute avec les marchands, on sait décrire, au moins son nom, on peut consulter une voyante sur son avenir, apprendre des mots magiques, composer des talismans.

en attendant, j 'és tais seul au milieu d' un grouille ­ de t - ê é, côtes de Ras es de Jiménez humides, Dans un vertige de vocif - opérations de versets sacr é s.

l - à Cole était la porte de Derb Noualla.Le fqih, un grand maigre à barbe noire,Dont les yeux Lan ­ - aient constamment des flammes de col Isère, habitait la rue Jiaf.Je connaissais cette rue.Je tu savais qu'au fond d un boyau noir et humide, s' ouvrait une porte basse d 'État "- S chappait, toute la journée, E, un brouha ­ ha continu de voix de femmes et de pleurs d' enfants.

la matières premières Isère la fois que j 'avais entendu ce bruit,,,,J 'avais één en clat sanglots parce que j' avais reconnu les voix de l 'Enfer telles que mon p è é voqua re les un soir.

Ma'm Isère - du calme:

. Je t' emm Hacène prendre un bain, je te promets un jus d'orange et un uf dur mise Et tu trouves le moyen de braire comme un â ne!

Toujours hoquetant, je pondis R:
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